Critique : Control (avec son extension La Fondation)
Avec Control, Remedy livre à nouveau un jeu où une captivante et mystérieuse narration et des gunfights addictifs forment un mélange réussi.
Chez Le blog de Marvelll, on adore jouer aux jeux vidéo, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Avec Control, Remedy livre à nouveau un jeu où une captivante et mystérieuse narration et des gunfights addictifs forment un mélange réussi.
Traînant depuis un an sur ma pile de jeux, j’ai lancé A Plague Tale: Innocence sans conviction. Surprise, j’ai eu un véritable coup de cœur.
Gros fan de la saga, j’ai pris un coup de nostalgie avec Streets of Rage 4. Toute ma jeunesse sur la Mega Drive.
Magnifique avec un superbe gameplay, il souffre toutefois d’une linéarité écrasante et d’un rythme trop étiré pour être à la hauteur.
Après 4 tentatives avec la saga Doom, je pensais qu’elle n’était pas pour moi. Mais j’ai insisté avec Eternal et j’en suis tombé amoureux.
Ori and the Will of the Wisps est une suite à la hauteur de son prédecesseur tout en apportant de la profondeur à son gameplay.
Death Stranding est un jeu vidéo à part. Pas parfait, mais suffisamment riche et original pour offrir une aventure dont je me souviendrais.
Je l’attendais depuis que j’eusse terminé Kingdom Hearts II, treize ans auparavant. Au final, c’est la déception qui domine.
Marvel est à la traîne par rapport à la Distinguée Concurrence au niveau des jeux vidéo. La tendance va-t-elle commencer à s’inverser ?
Quelle claque. Je suis resté époustouflé de début jusqu’à la fin. Detroit: Become Human est le jeu le plus abouti du studio parisien.