Critique : Je s’appelle Groot – Saison 2

Après une première saison sympathique, l’idole des sales gosses et accessoirement Gardien de la Galaxie, Baby Groot, revient. Toujours avec cinq épisodes d’une durée riquiqui. Le pire, c’est que le fils de Rocket se paie même le luxe d’accélérer le générique de Marvel Studios pour, incompréhensiblement, gagner du temps. Mais il faut le remercier, car ce serait lourd de se taper, à chaque fois, des génériques de trente secondes pour un épisode de quatre / cinq minutes.

Bref, j’ai regardé chaque « court-métrage » sans déplaisir le temps d’une pause-caca (véridique). Le plus surprenant, c’est que je me suis même surpris à esquisser des sourires devant certaines blagues. Le coup du Skrull en combattant d’un jeu de combat façon Street Fighter, c’est bête, mais j’adore. Ou encore, l’intervention des Cohortes de Nova. Puis bon, la dimension comique de Baby Groot est bien utilisée.

Toutefois, j’ai beaucoup aimé deux épisodes en particulier.

Le premier Le bonhomme de neige (épisode 3) pour son twist improbable. Le second pour l’équivalent d’un épisode de What If… ?. Je parle de l’épisode 5, Groot et la grande prophétie. Ce dernier se permet le luxe d’offrir des images sublimes et un humour différent des autres épisodes.

Pour le reste, je ne peux que vous renvoyer vers la critique de la première saison.