Critique : J’ai rencontré le diable
Sans jamais faire la morale, sans jamais tomber dans les chemins routiniers, J’ai rencontré le Diable est une histoire de vengeance rare.
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Sans jamais faire la morale, sans jamais tomber dans les chemins routiniers, J’ai rencontré le Diable est une histoire de vengeance rare.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie.
Accessible aux enfants et aux adultes, ce drame, adapté d’une nouvelle de Stephen King, est depuis devenu culte.
À la fin du visionnage de Légendes d’automne, on en vient à regretter qu’il n’existe pas plus de films de ce genre.
L’Australie nous offre un excellent drame prenant partie non pas pour des gangsters, ni des flics mais un enfant au milieu de cette guerre.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.
Un film sans prétention mais qui fournit un tel plaisir qu’il serait dommage de le bouder. Il est ce que Ghost Rider aurait dû être.
Lors de sa sortie, le film avait fait un boum dont les répercussions trainent encore aujourd’hui. Pas difficile à comprendre.
Personnellement, j’ai beaucoup apprécié cette histoire au très beau titre traduit pour les States par un The Big Picture pas très approprié.
(500) Days of Summer, je trouve le titre anglais bien plus sexy que le titre français (de plus, ça colle particulièrement bien à la fin).