Critique : La Planète des Singes : Suprématie
La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
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La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
Précédé d’une réputation de film super cool, Baby Driver débarque dans les salles françaises. Le Scott Pilgrim des conducteurs ?
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Disney a dû faire appel à l’équipe d’alerte à Honolulu pour réanimer une franchise. On le sent que la réanimation a été dure.
Get Out est un genre de Get the fuck Out que j’ai kiffé. Un film d’horreur qui glace le sang au point de pousser à la réflexion profonde.
Après Sherlock Holmes, le british Guy Ritchie s’attaque à une autre figure emblématique anglaise. Le Roi Arthur.
Maintenant que l’effet de surprise est passé, il est l’heure de confirmer. En passant à l’échelle supérieure… Réellement ? Pas vraiment.
Fast & Furious 8 vire au sentimental sombre. On parle de Brian, mais on arrive à avancer en son absence et Vin en méchant, c’est touchant
12 ans après la version de Peter Jackson, King Kong revient… Plus gros que jamais, mais moins long. Peu importe, la longueur compte peu…