Critique : Ghost in the Shell (2017)
Après avoir appris que Sanders allait réaliser Ghost in the Shell, je n’étais pas emballé. Mais une intrigante bande-annonce est sortie.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2017.
Après avoir appris que Sanders allait réaliser Ghost in the Shell, je n’étais pas emballé. Mais une intrigante bande-annonce est sortie.
12 ans après la version de Peter Jackson, King Kong revient… Plus gros que jamais, mais moins long. Peu importe, la longueur compte peu…
Tout avait commencé avec une annonce. Une photographie d’Hugh Jackman, toutes griffes dehors, et les trois mots suivants… Old Man Logan.
Deux arguments pour Split : un pitch pour le moins excitant (un schizo avec 23 personnalités) et James McAvoy dans le rôle du kidnappeur.
En faisant suite à un des meilleurs actionners de ces dernières années, John Wick 2 avait une certaine pression et commet quelques erreurs.
Quand le petit Martin sort un film, la loi m’oblige à me diriger vers le cinéma le plus proche et acheter un ticket.
3 ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année. Néanmoins, je craignais la déception.
Moonlight, le long-métrage de Barry Jenkins, est un vrai bijou qui m’a épaté par sa capacité à être incroyablement juste tout du long.
Vin Diesel démarre l’année très fort avec un Donnie Yen avec une tonalité très X dans les noms respectifs de leurs personnages.
Nate Parker nous signe un coup de maître en trois casquettes : réalisateur, producteur et scénariste d’un chef d’œuvre historique à voir
Zhang Yimou nous fait un lâché de Block dans le buster. C’est divertissant et avertissant à la fois par la force des plans choisis.
Tom Ford m’avait ébloui avec son beau et émouvant A Single Man. Huit ans après, il offre son deuxième film, Nocturnal Animals.