Critique : La Petite Nemo et le Monde des rêves
La Petite Nemo et le Monde des rêves est une adorable aventure dans Slumberland apportant une partie dramatique efficace.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
La Petite Nemo et le Monde des rêves est une adorable aventure dans Slumberland apportant une partie dramatique efficace.
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
J’ai lancé le one-man-show de Payanotis sans trop y croire et j’ai été cueilli par surprise via un spectacle d’une très grande qualité.
On va jouer cartes sur table : Mike Myers est une de mes idoles et la joie de le voir revenir aux affaires m’emplit de joie.
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
Avec The Gray Man, le quatuor derrière Captain America : Le Soldat de l’Hiver et Civil War et Avengers : Infinity War et Endgame se reforme.
Encore un bon film Netflix avec Jamie Foxx. Après le sympa Project Power, la team remet ça pour une comédie d’action dopée aux canines.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Pour résumer, on est sur un buddy movie où Omar fait du Sy et Laurent du Lafitte. Zéro surprise, mais un petit moment de détente.