Critique : Mortal Kombat (2021)
Si on sent l’amour pour la franchise avec une bonne maîtrise technique, malheureusement ce n’est pas suffisant pour combler les défauts.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Si on sent l’amour pour la franchise avec une bonne maîtrise technique, malheureusement ce n’est pas suffisant pour combler les défauts.
Malgré un excellent Michael B. Jordan et des bonnes scènes d’action, ce John Wick à la sauce Tom Clancy peine à s’imposer.
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
Inévitablement, en regardant Godzilla vs Kong à la maison, on passe à côté de la puissance d’une séance cinéma. Satanée COVID !
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.