Critique : Fresh
Avec son rôle de cannibale, Sebastian Stan est clairement l’atout numéro un de Fresh, film d’horreur maquillé en comédie romantique.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Avec son rôle de cannibale, Sebastian Stan est clairement l’atout numéro un de Fresh, film d’horreur maquillé en comédie romantique.
Un thriller hollywoodien dont l’intérêt repose sur ses nombreux twists. Pas toujours crédible, mais irrémédiablement fun.
Ce Massacre à la tronçonneuse a tout pompé sur le Halloween sorti en 2018, mais heureusement, il fait aussi le job.
Alors Red Notice, c’est Black Adam, Deadpool et Wonder Woman qui sont des voleurs, des flics, des archéologues, des cinéphiles et j’en passe.
Clairement, sur cette suite, le duo Green et McBride se déchaîne. Plus d’exposition à faire, on rentre directement dans le bain.
Venom : Let There Be Carnage et Les 4 Fantastiques et le Surfer d’Argent, même combat. Deux suites médiocres sur une durée riquiqui.
Après deux épisodes réussis et deux ratés, Daniel Craig tire sa révérence sur un James Bond mémorable pour ce qu’il apporte à la légende.
Ce nouveau Candyman reprend la formule d’Halloween (2018) en faisant directement suite au classique tout en enrichissant sa légende.
Malignant est une curiosité. Alors que le nouveau film de James Wan semble être un Conjuring bis, ce n’est pas du tout le cas.
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.