Critique : Prometheus
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Lock Out, c’est typiquement le nanar sympa du 21ème siècle : des idées, de l’action emballé, des personnages marrants, des répliques chocs.
Battleship ressemble furieusement à Transformers. Si on m’avait dit qu’il s’agissait d’un spin-off, je n’en aurais pas été surpris.
Je m’attendais à un mélange vomito de Battle Royale et Twilight dans la lignée du cata Numéro 4, mais, au contraire c’est un excellent film.
Encore un film fantastique espagnol ? Ne le dites pas à Yannick Noah, il va les accuser de dopage et c’est Nadal qui va faire la gueule.
Sans aucune surprise, le départ de Nathan fait beaucoup de mal à la série. Les épisodes perdent un peu en saveur.
Le pitch de Perfect Sense fait vraiment envie, imaginez un peu un monde où tous les sens partiraient un par un. Comment on réagirait ?
Ra.One surfe sur le phénomène des super-héros mais à la sauce de Bollywood. Alors film de merde surfant sur la mode ou bon film ?
Le blu-ray de Transformers 3 représente la quintessence de la capacité du blu-ray. A sortir pour épater vos amis.