Critique : 21 Jump Street
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Ne me traitez pas de macho mais c’est un film pour filles et seulement pour elles. Ma copine me le confirme à l’oreille.
Encore une saison pour le serial killer le plus sympathique de tous les temps et mine de rien, nous en sommes déjà à la sixième.
Bored to Death est une série assez bizarre, elle mélange avec brio l’humour pince sans rire et le vieux film policier.
Impossible de ne pas être curieux face à ce film surtout après le visionnage des deux trailers totalement décalés et drôles.
En revenant sur un sujet aussi propice au débat : Coupable ou innocent ? Il devient difficile de choisir un point de vue.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Comédie musicale, policier noir, burlesque, répliques cultes, sens du rythme, acteurs formidables. Tout ça, c’est The Big Lebowski.
Décidément notre cher Jason a laissé tomber le secteur de l’actionner ayant fait sa gloire pour se tourner vers le thriller.
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.