Critique : A Plague Tale : Requiem
Après la belle surprise A Plague Tale : Innocence, Asobo Studio remet ça en plus grand. Résultat, une aventure dantesque.
Après la belle surprise A Plague Tale : Innocence, Asobo Studio remet ça en plus grand. Résultat, une aventure dantesque.
Après The Witch et The Lighthouse, Robert Eggers passe au niveau supérieur en multipliant le budget de son dernier film par 7.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
Une de ses meilleures saisons de The Crown. Du moins, la plus équilibrée au niveau de la qualité. Le tout sur des sujets fascinants.
Netflix commence à avoir un catalogue fourni de bons films et Les Sept de Chicago en fait partie. Quoi d’étonnant de la part de Sorkin.
Attention, il ne s’agit pas ici de raconter l’Histoire du jeu vidéo, mais plutôt partager des histoires diverses durant l’âge d’or.
L’occasion unique de vivre une aventure de Kurosawa dans un monde ouvert. Jamais, j’ai eu autant l’impression d’incarner un samouraï.
En rachetant Greyhound à Sony pour le sortir sur sa plate-forme, Apple a frappé un grand coup, car il s’agit d’un excellent film de guerre.
Pour son Endgame, Ip Man part en voyage aux States pour lutter à nouveau contre le racisme et l’injustice grâce à sa maîtrise de la bagarre.
Je l’ai vu avec l’intention de ne pas laisser une larme couler. Mission réussie, ce n’est pas une larme qui a coulé, mais une dizaine.