Critique : Upside Down
Splendide visuellement, Upside Down souffre d’un background pas assez étoffé et de nombreuses incohérences.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Splendide visuellement, Upside Down souffre d’un background pas assez étoffé et de nombreuses incohérences.
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.
Quatre saisons durant, nous avons pu suivre des évènements surnaturels et les enquêteurs hors-pair chargés de les résoudre.
C’est quoi ce spoiler dans le titre, non mais ils auraient pu faire un effort quand même. Ben si c’est comme ça, je ne le regarde pas.
On disait de Misfits qu’il avait perdu un pilier suite au départ de Nathan. Cette fois-ci, ils sont tous partis.
Ce Hobbit était craint, à cause d’une préprod’ chaotique et parce que Le Hobbit est un livre pour enfants. Le syndrome La Menace Fantôme ?
Dans Les Cinq légendes, le Père Noël, le lapin de Pâques, le marchand de sable, la fée des dents et Jack Frost feat. le croque-mitaine.
Ted, la peluche ayant fait fureur au pays de l’oncle Sam, débarque enfin chez nous, précédée d’une excellente réputation.
Difficile de refuser un tel voyage, pouvoir revenir dans cet univers où la tour sombre trône majestueusement au centre de tout est un luxe.
Encore un film espagnol sur le genre horreur et comme ses compères, Timecrimes repose sur un scénario à point et un casting aux oignons.