Critique : Marvel’s Avengers : Hawkeye – Futur Imparfait
Après une première extension prometteuse avec Kate Bishop, c’est la douche froide en compagnie d’Hawkeye sur Futur Imparfait.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Après une première extension prometteuse avec Kate Bishop, c’est la douche froide en compagnie d’Hawkeye sur Futur Imparfait.
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Palm Springs lorgne sur le territoire du culte Un jour sans fin en étant une comédie romantique impliquant une boucle temporelle.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.
Une première extension prometteuse avec les bases d’une nouvelle histoire s’annonçant excitante et un réel nouveau personnage.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Malgré une histoire classique, le charme de Marraine ou presque m’a envoûté. En grande partie, grâce à une délicieuse Jillian Bell.