Critique : Timecrimes
Encore un film espagnol sur le genre horreur et comme ses compères, Timecrimes repose sur un scénario à point et un casting aux oignons.
Le genre « épouvante » suscite la terreur et l’effroi avec des atmosphères angoissantes, des créatures cauchemardesques et des rebondissements terrifiants.
Encore un film espagnol sur le genre horreur et comme ses compères, Timecrimes repose sur un scénario à point et un casting aux oignons.
Après Martyrs, le frenchie Pascal Laugier confirme avec The Secret, un film de plus grande envergure avec Jessica Biel.
Par le réalisateur de Torque, la route s’enflamme, difficile de ne pas flipper à l’idée de lancer le blu-ray de Detention.
Avec le film du jour, Jane Eyre, le roman de Charlotte Brontë connaît sa vingtième adaptation cinématographique/télévisuelle.
Même si je n’avais jamais entendu parler de Dylan Dog, son affiche présentant le Superman de Bryan Singer fait envie.
Sorti en catimini au cinéma, After.Life est déjà sorti depuis 2009 outre-Atlantique, un état des faits surprenants.
Piranha 3DD ?! Non sérieux, ils ont osé ? Deux fois plus de gore, deux fois plus de nichons ? Je suis au taquet !
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…