Critique : Housebound
Parfois, en rangeant, on tombe sur un billet de dix euros inattendu. Sur le net, c’est parfois la même chose. Comme avec Housebound.
Le genre « épouvante » suscite la terreur et l’effroi avec des atmosphères angoissantes, des créatures cauchemardesques et des rebondissements terrifiants.
Parfois, en rangeant, on tombe sur un billet de dix euros inattendu. Sur le net, c’est parfois la même chose. Comme avec Housebound.
Personne n’a oublié cette poupée aux yeux de braise dans Conjuring. Du coup, Warner Bros. s’est dépêché de nous pondre un spin off…
En plus d’être le long-métrage des deux gars derrière un segment de V/H/S, The Baby, c’est aussi une promo mémorable.
Incroyable mais vrai, c’est avec The Marked Ones que j’ai perdu ma virginité sur la saga Paranormal Activity. Était-ce une 1ère marquante ?
Les suites de films d’horreur sont rarement aussi réussies que l’original. Qu’en est-il de ce deuxième chapitre d’Insidious ?
Film le plus rentable de 2011, Insidious reprend là où il s’est arrêté et lève le voile sur les mystères non résolus dans une suite légitime.
Chucky a toujours exercé une fascination chez moi. À cause de lui, je crains toutes les poupées que je rencontre. Fascination encore vivace ?
Home invasion tout à fait classique n’offrant rien d’original ou d’enthousiasmant mais mérite tout de même un petit visionnage.
Mama débarque précédé d’une excellente réputation. Prix à Gérardmer, 138 millions de recettes et la présence du mexicain Guillermo del Toro.
Rob Zombie… Un nom de l’horreur en peu de films mais il faut dire que The Devil’s Rejects a traumatisé son monde.