Critique : Sous la Seine
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
Après la série The Last of Us, les jeux vidéo ont une nouvelle adaptation très réussie en la personne de Fallout.
Ryan Gosling et Emily Blunt brillent dans cette double love story. L’une pour les stars et l’autre pour les cascadeurs.
Civil War est l’Apocalypse Now des temps modernes avec un pitch enthousiasmant, à savoir imaginer une guerre de Sécession de nos jours.
Et si l’on avait un Game of Thrones au Japon ? L’adaptation par la FX du roman Shōgun de James Clavell répond à cette question.
Une suite reprenant la formule de son prédécesseur pour la sublimer avec l’ajout de mini-jeux géniaux et de personnages charismatiques.
Oscarisé pour le meilleur scénario adapté, Fiction à l’américaine est une comédie noire maligne et pleine de mordant.
Un conte en mode Pinocchio version comédie érotique où le cul est omniprésent en plus d’avoir des relents pédophiles Particulier.
Une excellente suite faisant réfléchir sur notre rapport à l’écologie et la religion. Et tout ça avec des images et du son à tomber par terre.