Critique : The Deep Blue Sea
The Deep Blue Sea souffre d’un rythme lent et d’un sujet moyennement d’actualité mais offre une telle force émotionnelle.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
The Deep Blue Sea souffre d’un rythme lent et d’un sujet moyennement d’actualité mais offre une telle force émotionnelle.
Le blu-ray de Millenium est tellement soigné qu’il demeure indispensable dans la collection de chaque collectionneur et des fans du film.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.
On avait fini la saison dernière en paumant Peter comme des vulgaires clés. On a beau demander à l’équipe, personne ne s’en souvient…
En adaptant ce monument de littérature, Walter Salles a pris un sacré risque et il s’en est plutôt pas mal sorti.
Cosmopolis promettait être le retour de Cronenberg après le moyen A Dangerous Method. De plus, il marquait la mue de la star de Twilight.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
C’est l’heure des adieux. Après nous régalé durant sept saisons, voici la dernière saison de ces femmes aux foyers.
Amanda est à l’affiche de cet énième thriller et c’est déjà pour beaucoup un argument de poids (40 kilos toute mouillée).
Quelle performance de Laurence Fishburne en Thurgood Marshall ! Juriste ayant été le 1er homme de couleur à siéger à la Cour suprême.