Critique : Sherlock – Saison 3
Sherlock nous avait laissés sur une image forte, un des cliffhangers les plus mémorables de l’univers des séries, mais des tweets ont jailli.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Sherlock nous avait laissés sur une image forte, un des cliffhangers les plus mémorables de l’univers des séries, mais des tweets ont jailli.
Série surprise avec un concept détonnant : des pouvoirs entre les mains de délinquants, Misfits aborde sa dernière saison.
Dans son titre, le film de Srdan Golubović y trouve son essence. Peu clair au départ, il est expliqué lors d’un dialogue.
On ne présente plus le danois Tobias Lindholm, scénariste sur la série Borgen et le poignant La Chasse, réalisateur d’Hijacking… et R.
Tout respirait le chef d’œuvre dans Les Brasiers de la colère : son affiche, sa bande-annonce, son casting, et même le réalisateur.
À chaque année, ma pitance de Stephen King et en 2013, deux fois. Après l’excellent 22/11/63, place à la suite de Shining: Docteur Sleep.
Ce test se base sur le Blu-ray de No Pain No Gain. L’heure de revivre les aventures complètement folles (et vraies) de criminels amateurs.
The Spectacular Now a attisé ma curiosité grâce au buzz à Sundance et l’affiche proclamant un scénario de ceux derrière (500) jours ensemble.
Je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Je suis allé voir Philomena pour regarder un film sympa même si un peu cucul et… j’ai été conquis.
Après une excellente saison 2 ayant réussi l’exploit de surmonter une première incursion fortement mitigée pour ma part, Homeland revient.