Critique : Spring Breakers
Spring Breakers est un film avec beaucoup de sensibilité mais plombé par des actrices moyennes. Heureusement, il y a un grand James Franco.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Spring Breakers est un film avec beaucoup de sensibilité mais plombé par des actrices moyennes. Heureusement, il y a un grand James Franco.
David O. Russell est désormais un cinéaste attendu depuis Fighter. Pour l’occasion, il réalise l’adaptation du livre Silver Linings Playbook.
Il n’arrive pas niveau atteint par Mes Meilleures Amies et Crazy, Stupid, Love mais est sauvé par le sens de la réplique d’Apatow.
Chaud pour aller le voir grâce à la tagline sur l’affiche : « Après La Visite de la Fanfare » que j’avais bien aimé, je fus presque choqué.
La curiosité d’Hôtel Transylvanie est au niveau de son réalisateur qui a chopé un max de prix en tant que réalisateur.
C’est quoi ce spoiler dans le titre, non mais ils auraient pu faire un effort quand même. Ben si c’est comme ça, je ne le regarde pas.
On disait de Misfits qu’il avait perdu un pilier suite au départ de Nathan. Cette fois-ci, ils sont tous partis.
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Entourage est inspirée de la vie de Mark Wahlberg où on suit un groupe de quatre potes propulsés dans les plus hautes sphères d’Hollywood.
Après un très bon Bons Baisers de Bruges, le réalisateur Martin McDonagh revient avec sept malades mentaux.