Critique : Conjuring: Sous l’emprise du Diable
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Pas la péloche horrifique de l’année, mais un film sympa grâce à une superbe mise en scène de Vincenzo « Cube » Natali et une trame originale.
Du Worlds of DC, depuis Man of Steel, j’ai enchaîné les grosses déceptions jusqu’à, et à ma grande surprise,… Fish Boy alias Aquaman !
Le studio Warner est tellement fan des versions longues qu’il en a carrément fait une pour la bande-annonce d’Aquaman.
Pour faire Conjuring 2: Le Cas Enfield, le réalisateur James Wan a refusé de faire Fast & Furious 8. Est-ce que ça valait le coup ?
Les saisons 2 sont dangereuses, surtout après des premières saisons exceptionnelles. True Detective s’est foiré. Et Fargo ?
Comment est-il possible que le nouveau Joe Carnahan avec Patrick Wilson, Chris Pine et Jessica Alba sorte directement en VOD ?
Les suites de films d’horreur sont rarement aussi réussies que l’original. Qu’en est-il de ce deuxième chapitre d’Insidious ?
Film le plus rentable de 2011, Insidious reprend là où il s’est arrêté et lève le voile sur les mystères non résolus dans une suite légitime.
James Wan, c’est le gars qui s’est fait connaître avec Saw. Depuis, il s’est frotté à différents genres avec un certain talent.
Dans Conjuring, James Wan décide de s’attaquer au mythe d’Harrisville avec l’aide du célèbre duo : Ed et Lorraine Warren.
Après nous avoir ébloui avec un voyage vers nos origines, Ridley Scott nous offre un blu-ray avec plus de huit heures de suppléments: décorticage par votre serviteur.