Critique : Ant-Man et la Guêpe
Après avoir traumatisé le monde via sa guerre de l’infini, Marvel Studios revient à un film plus terre-à-terre avec la suite du fort sympathique Ant-Man.
Après avoir traumatisé le monde via sa guerre de l’infini, Marvel Studios revient à un film plus terre-à-terre avec la suite du fort sympathique Ant-Man.
Pour le Marvel Studios Ant-Man et la Guêpe, on a droit aux posters de Scott Lang, Hope et Janet Van Dyne, Hank Pym, Bill Foster et la vilaine Ghost.
On est à peine sorti d’Avengers: Infinity War que Marvel Studios nous propose de remettre ça. Fort heureusement pour nos petits cœurs sensibles, on va quitter l’ambiance dark pour une plus légère avec Ant-Man et la Guêpe.
Le 30 avril 2008, Iron Man sortait au cinéma. Dix ans plus tard, Marvel Studios réunit du beau linge pour la meilleur photo de classe de tous les temps.
Luc Besson et Robert de Niro. Délicieux sachant que le Robert aurait dû être le Léon de Luc avant que le Jean ne prenne le nom du tueur silencieux.
Dans le genre bon film même pas sorti en France, People Like Us est éligible. En plus, tous les ingrédients sont réunis pour s’offrir un bon petit succès : deux acteurs bankables (Chris Star Trek Pine et Elizabeth Hunger Games Banks) et une histoire inspirée de faits réels.
Dark Shadows était à la base une série qui avait fasciné Tim Burton dans sa jeunesse. Du coup, il retourne ici à ses premiers amours après l’échec artistique mais pas monétaire de son Alice.