Critique : La Forme de l’eau – The Shape of Water
Après avoir été déçu par l’ambitieux Crimson Peak, j’étais pressé de retrouver Guillermo del Toro pour pouvoir passer à autre chose. La Forme de l’eau avec ses nombreux prix semble être le bon.
Après avoir été déçu par l’ambitieux Crimson Peak, j’étais pressé de retrouver Guillermo del Toro pour pouvoir passer à autre chose. La Forme de l’eau avec ses nombreux prix semble être le bon.
Rien qu’avec l’annonce de Denis Villeneuve à la barre, on sait qu’on peut aller voir un film les yeux fermés. Premier contact ne déroge par à la règle.
Le 14ème film du MCU marque une avancée dans cet univers pourtant déjà dense, car avec Doctor Strange, nous ne sommes plus dans un monde de science.
Ce n’est pas le mauvais biopic Wikipédia avec Ashton Kutcher qui levé le mystère sur le mythe Steve Jobs. J’osais donc espérer que Danny Boyle le fasse.
L’info est passée un peu inaperçue à cause de la bande-annonce de Captain America: Civil War, mais aussi, parce qu’au final, on n’apprend pas grand-chose.
Voir un Woody Allen, c’est jouer à pile ou face. Pile, ça serait excellent. Face bof. Alors pour Blue Jasmine, pile ou face ? Cate Blanchett lance.
Décidément, c’est la mode des biopics ne racontant pas toute la vie de l’illustre personnalité auxquels ils s’attachent mais seulement une portion.
Test du blu-ray 3D de Men In Black 3, préparez-vous à voir des aliens sortir de l’écran et pourquoi pas le pif de Tommy Lee Jones.
En regardant la bande annonce, on avait la désagréable sensation comme le sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait un peu tout ce qu’il y avait à voir. Sensation malheureusement confirmée après visionnage.
Hugo Cabret nous est vendu comme étant le grand film familial de Noël. On sera quand même un peu dubitatif de voir l’intérêt des enfants pour ce film car…