Critique : Le Ministère de la Sale Guerre
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Réalisateur britannique audacieux, Guy Ritchie marie avec brio l’action, l’humour et l’intrigue dans ses films emblématiques.
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Avec The Gentlemen, Guy Ritchie adapte son meilleur film récent en série télévisée. Bref, un régal si l’on est fan du bonhomme.
Un film de guerre reposant sur une idée originale et porté par un duo d’acteurs charismatiques. Dommage de ne pas avoir évité les clichés.
Après Un homme en colère, Guy Ritchie refait équipe avec Tatane Man pour une sorte de Mission : Impossible où brille Hugh Grant.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).
Entre les cases Arnaques, Crimes et Botanique & Snatch et Rock’n Rolla, le nouveau Ritchie, The Gentlemen, se range dans la première. Ouf.
Après Sherlock Holmes, le british Guy Ritchie s’attaque à une autre figure emblématique anglaise. Le Roi Arthur.
Le Roi Arthur de Guy Ritchie risque de créer la surprise. Surtout avec Charlie Hunnam dans le rôle titre et cette bande-annonce le confirme.
Décidément, 2015 est l’année de la renaissance des espions après Kingsman, Spy, Mission: Impossible et avant Spectre.
On ne change pas un équipe qui gagne et, pour cette suite, quasiment la totalité de l’équipe est conservée.