Critique : Hitman : Agent 47
Hitman revient au ciné via un reboot. Une telle initiative pouvait faire espérer une adaptation plus fidèle. Mais c’est trop demander.
Hitman revient au ciné via un reboot. Une telle initiative pouvait faire espérer une adaptation plus fidèle. Mais c’est trop demander.
L’idée est louable : refaire du ciné la place-forte du genre d’espionnage à tendance parano. Mais ça ne se fera pas avec Closed Circuit.
Le rôle du plus gros blockbuster depuis Avatar et ses 300 millions de dollars de budget est tenu par John Carter avec ses 250 millions.
Après un premier épisode catastrophique dont je ne me rappelle que d’une seule scène hallucinante, cette suite me laissait envisager le pire.
Le film d’espionnage n’est pas mort, loin de là, et il trouve avec La Taupe un de ses meilleurs représentants si ce n’est le meilleur.
Produit par Marv, la boite de Matthew Vaughn, L’Affaire Rachel Singer est un film décomposé en deux parties assez inégales.
Mettons que le diable existe, il aurait une volonté de nous faire croire à sa non-existence par quelconques artifices. Comme ce film.