Critique : Nos pires voisins 2
Revenir à cette guerre civile entre voisins est une invitation alléchante, surtout que la première était agréable à vivre.
Revenir à cette guerre civile entre voisins est une invitation alléchante, surtout que la première était agréable à vivre.
Euh… Étant un mec, ai-je le droit de voir ce film vu que le titre du long-métrage de Lynn Shelton barre l’entrée à tous les mecs ? Tant pis, je me risque.
Avec Equalizer, Sony démarre une franchise autour de Denzel. Mais avant de parler franchise, il faudrait déjà un premier épisode réussi.
L’original de Brian de Palma ? Jamais vu. Par contre, j’avais bien lu le bouquin de Stephen King durant ma période King. Alors, adaptation réussie ou non ?
J’ai découvert Kick-Ass comme tout le monde, d’abord hilare devant ce costume ridicule et ce nom à la con, j’ai pris une baffe devant le résultat final.
Avec le casting de My Movie Project, on pouvait s’attendre à un truc énorme, l’équivalent des The Theatre Bizarre et V/H/S de la comédie.
Dark Shadows était à la base une série qui avait fasciné Tim Burton dans sa jeunesse. Du coup, il retourne ici à ses premiers amours après l’échec artistique mais pas monétaire de son Alice.