Critique : Comancheria
Si je suis allé voir Comancheria, c’est pour ses critiques, mais après coup, je me suis baffé. Après tout, j’ai failli le manquer ?
Si je suis allé voir Comancheria, c’est pour ses critiques, mais après coup, je me suis baffé. Après tout, j’ai failli le manquer ?
Chaque personne ayant joué à Warcraft a probablement caressé le doux rêve de voir ses cinématiques se prolonger en film.
J’ai attendu toute la journée et elle n’a été diffusée que ce soir… Voici la BA de l’adaptation cinématographique de Warcraft.
Le scandale Lance Armstrong a bouleversé le monde du sport. Néanmoins, je ne connaissais pas ses dessous. Du moins jusqu’à The Program.
L’adaptation cinématographique de l’Opération Red Wings ayant entraîné l’une des défaites les plus coûteuses de l’armée américaine.
L’affiche me subjuguait. Voir ces deux grands acteurs jouer deux amoureux transis que la police sépare me donnait des élans de romantisme.
Lunettes de soleil, visage rougi par le soleil et insigne de police brillante. Il n’y a pas à dire, Woody Harrelson en impose sur l’affiche.
Auteur d’un Crime City sympathique avec le ghost dog pas aidé par ses yeux, Baltasar Kormakur remet ça avec un bon casting.
Quand on pense Jason Statham, les films qui nous viennent à l’esprit sont Le Transporteur et The Expendables. Des films d’actions bourrins.