Critique : Terminator Genisys
Malgré quelques coups ratés, Terminator: Genisys a globalement réussi sa promotion, laissant ainsi envisager un bon film.
Malgré quelques coups ratés, Terminator: Genisys a globalement réussi sa promotion, laissant ainsi envisager un bon film.
Le père Schwarzenegger, on l’a vu dans tous les genres, mais jamais dans un film de zombies. Maggie vient corriger ça.
Je ne veux pas rendre hommage au phénomène Mon Oncle Charlie et ses 12 saisons, mais balancer mon avis sur la fin très décevante de la série.
À chaque nouveau Expendables, ses nouvelles légendes du cinéma. Cette fois-ci, c’est au tour d’Indiana Jones, Zorro, Blade et l’Arme Fatale.
Arnold Schwarzenegger, l’homme aux multiples persos cultes, s’invite chez David Ayer, réalisateur du très bon End of Watch.
N’allons pas par quatre chemins, Evasion, si on va le voir, c’est pour le tandem Stallone/Schwarzenegger. Et ces deux-là font le boulot !
Après un échauffement sur Expendables 2, Arnold est prêt pour le premier rôle de l’excursion du cinéaste sud-coréen Kim Jee-woon aux States.
Après un bon 1er épisode même s’il n’atteignait pas le niveau du long-métrage précédent de Stallone, j’attendais beaucoup de cette suite.