Critique : Oppenheimer
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Le pitch impliquant le trio histoire vraie, cocaïne et ours nous promet un joyeux délire et c’est exactement ce que nous offre Cocaine Bear.
Je ne vais pas revenir sur les remous de la production tant le sujet a déjà été débattu. À la place, je vais juger le résultat final.
Mine de rien, le nouveau Star Wars Story sort dans un mois et demi et il aura l’honneur d’être le film d’ouverture du festival de Cannes 2018.
Pour la bande-annonce de Solo: A Star Wars Story, il n’aura pas fallu attendre longtemps après le spot du Super Bowl vu qu’elle est déjà là.
Autant la hype peut monter en flèche, autant elle peut exploser en vol telle une vulgaire Alderaan comme à la découverte du nouveau Han Solo.
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec un tas d’idiots.
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.