Critique : Retour à Zombieland
Retour à Zombieland est une suite sans surprise du premier opus. On retrouve exactement ce qui en faisait son charme, ni plus, ni moins.
Retour à Zombieland est une suite sans surprise du premier opus. On retrouve exactement ce qui en faisait son charme, ni plus, ni moins.
La dernière fois qu’on avait retrouvé Cary Joji Fukunaga à la tête d’une série, c’était avec True Detective. Bref, Maniac devient alors un must-see.
Trois ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année à venir. Néanmoins, je craignais la déception.
Il m’est difficile de faire l’impasse sur Birdman. D’un, parce qu’il aborde un sujet qui me passionne, et de deux, parce qu’il a une moyenne très élevée.
Le reboot redouté était réussi. Ce deuxième opus continue sur sa lancée et devrait s’affranchir des défauts du premier donc être meilleur. Est-ce le cas ?
Le dernier né des studios DreamWorks nous embarque pour un voyage avec une famille préhistorique pas comme les autres…
Avec My Movie Project, on pouvait s’attendre à un truc énorme. L’équivalent des The Theatre Bizarre et V/H/S de la comédie. Et puis quel casting !
Ruben « Bienvenue à Zombieland, 30 Minutes Maximum » Fleischer derrière un film hollywoodien avec un casting de cet acabit, on ne peut qu’être curieux du résultat final.
Passé presque inaperçu jusqu’à sa présentation aux salons du jeu vidéo, ce jeu qui avait été lourdé par Activision et récupéré par Square Enix a fait le buzz. On avait vu un jeu plutôt beau et avec un gameplay diversifié même si on ne s’éloignait pas des masses de GTA.
Pour les cinquante ans de l’Araignée (apparue dans le numéro 15 d’Amazing Fantasy sorti en août 1962), Sony nous offre un reboot: The Amazing Spider-Man.