Critique : FUBAR – Saison 1
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Alors, on prend sa flemme, sa bat-card et on colle des tétés sur nos combis en spandex. Aujourd’hui (soupir), c’est Batman et Robin.
Alors, on prend son kit d’espionnage, son énorme flingue et son van pour emmener les enfants au foot. Aujourd’hui, c’est True Lies.
On enfile ses santiags, on prend son Desert Eagle et on met de côté le rangement de ses chaussettes. Cette semaine, c’est Last Action Hero.
Prenez vos billets pour Mars et votre extracteur de mouchard nasal, on en aura pas pour deux semaines. Aujourd’hui, c’est Total Recall.
Je m’attendais à être déçu par Terminator: Dark Fate comme je l’avais été par les autres suites. Heureusement, la réalité est autre.
Wooooooow ! C’est juste énorme. J’ai vraiment eu l’impression de revoir un Terminator de la vieille époque avec une course-poursuite non stop.
Après Deadpool et le génial Love, Death + Robots, Tim Miller nous livre en octobre le prochain Terminator où on retrouve James Cameron.
Malgré quelques coups ratés, Terminator: Genisys a globalement réussi sa promotion, laissant ainsi envisager un bon film.
Le père Schwarzenegger, on l’a vu dans tous les genres, mais jamais dans un film de zombies. Maggie vient corriger ça.
Je ne veux pas rendre hommage au phénomène Mon Oncle Charlie et ses 12 saisons, mais balancer mon avis sur la fin très décevante de la série.
À chaque nouveau Expendables, ses nouvelles légendes du cinéma. Cette fois-ci, c’est au tour d’Indiana Jones, Zorro, Blade et l’Arme Fatale.