Critique : Stranger Things 4
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Chez Le blog de Marvelll, on bouffe des séries à toutes les sauces. À force, on finit par enchaîner les claques comme, par exemple, avec Game of Thrones, Breaking Bad et Daredevil. On en profite donc pour lister ici toutes les violences physiques qu’on a subies.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
La série d’Amazon se déroulant durant le Second Âge de l’histoire de la Terre du Milieu dévoile sa première grosse bande-annonce.
Avec El Arbi & Fallah de retour derrière la caméra, je m’attendais à plus de punch. Malgré tout, l’épisode final fait le job.
Ayant pour hôte, l’inimitable Bruce Campbell, ce making-of rejoint la liste de ceux excellents de la série Marvel Studios : Rassemblement.
Inquiétude. C’est ce qui prédomine chez moi après avoir bouclé cette saison 3. Pas concernant les personnages, mais sur la qualité.
Épisode étonnant s’attardant sur une partie inattendue dans sa première moitié. La suite prépare le déluge de l’épisode final.
Comme le Chevalier de la Lune, Kamala Khan nous invite à prendre l’avion. Cette fois-ci, on atterrit au Pakistan.
Obi-Wan Kenobi a deux grands épisodes. Le premier et le dernier. Au milieu, des épisodes sympathiques sans plus.
Miss Marvel continue son (excellent) bonhomme de chemin avec un épisode offrant du teasing assez génial et un rythme impeccable.
Malgré une réalisation moins marquante que sur l’épisode précédent, Miss Marvel fait toujours mouche grâce à la rayonnante Iman Vellani.