Critique : Crysis 2
Vous avec rêvé d’un FPS en plein New-York avec des bâtiments qui s’écroulent, des trains qui déraillent et j’en passe ?
Vous avec rêvé d’un FPS en plein New-York avec des bâtiments qui s’écroulent, des trains qui déraillent et j’en passe ?
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.
Le film commence par un long voyage : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
Les premiers épisodes reviennent à une routine typiquement Fringe à savoir des enquêtes très réussis et toujours plus farfelues.
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Après un catastrophique Légion que je n’ai même pas osé voir tellement tout le monde s’est accordé pour dire que c’est une sombre bouse…
Xavier Beauvois signe un grand film sur des hommes qui ont préféré l’amour. Je comprends mieux la pluie de récompenses.
Si vous voulez commencer à rembourser l’achat de votre télé 3D, il n’y a pas photo, vous devez posséder Le Royaume de Ga’Hoole.
Califonication n’est pas pour tout le monde. Les prudes du monde entier vont crier au scandale… Le reste va s’éclater comme des petits fous.
Il est rare les films qui nous tiennent en haleine du DEBUT jusqu’à la FIN. Blood Island ne mérite pas son titre français ultra racoleur.