Critique : Resident Evil : Retribution
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Savages a un but : être le cri primitif d’Oliver Stone pour dire : Non, je ne suis pas mort ! Il faut dire que l’ancêtre a perdu la main.
Deux ans que je n’avais pas touché à un PES, en fait depuis que je suis tombé sur l’édition 2009 en occasion.
People Like Us est classique, n(offre rien de transcendant mais suffisamment bien calibré pour nous captiver de bout en bout.
Après un second épisode magistral, on pouvait commencer à se demander comment Telltale allait pouvoir garder le cap.
Un épisode spin-off, histoire de souffler avant de revenir à ce qui nous intéresse vraiment : Jason Bourne.
Robot and Frank est un joli conte moderne sur une amitié hors du commun, sur la vieillesse, la maladie et… les robots.
Premier film de Vera Farmiga d’après les mémoires de Carolyn S. Briggs. On s’attend au film un peu chiant, intéressant mais un peu chiant.
Difficile de reprocher quoi que ce soit au blu-ray de Titanic qui est probablement ce qui se fait de mieux dans le domaine.
Sleeping Dogs aurait pu être un excellent jeu s’il n’était pas pénalisé par des défauts trop lourds comme les nombreux bugs.