Critique : God of War : Ragnarök
God of War : Ragnarök donne malheureusement plus l’impression de joueur à un God of War 1.5 qu’une véritable suite.
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God of War : Ragnarök donne malheureusement plus l’impression de joueur à un God of War 1.5 qu’une véritable suite.
Après la belle surprise A Plague Tale : Innocence, Asobo Studio remet ça en plus grand. Résultat, une aventure dantesque.
Incroyable. Alors que je n’ai jamais pu blairer la saga des Souls, j’ai totalement succombé au charme du monde ouvert de FromSoftware.
Square Enix semble avoir appris de ses erreurs avec Avengers en proposant un jeu entièrement tourné vers le solo. Résultat ? Une bombe !
Après la déception Futur Imparfait, Marvel’s Avengers revient en forme avec une très bonne extension autour du Black Panther.
Je me suis planté en pensant que ce Nier était un « nouveau » Nier étant donné que je n’avais jamais fait la version japonaise.
Une suite se contentant de reprendre la formule de son prédécesseur tout en le transportant dans un cadre dépaysant.
Si tu as kiffé Doom Eternal, alors The Ancient Gods est un achat obligatoire. Ce DLC en deux épisodes a une excellente durée de vie.
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.