Critique : Final Fantasy VII Remake
Magnifique avec un superbe gameplay, il souffre toutefois d’une linéarité écrasante et d’un rythme trop étiré pour être à la hauteur de l’original.
Chez Le blog de Marvelll, on adore jouer aux jeux vidéo, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Magnifique avec un superbe gameplay, il souffre toutefois d’une linéarité écrasante et d’un rythme trop étiré pour être à la hauteur de l’original.
Après quatre tentatives avec la saga Doom, je pensais qu’elle n’était pas pour moi. Mais j’ai insisté avec Doom Eternal et j’en suis tombé amoureux.
Ori and the Will of the Wisps est une suite à la hauteur de son prédecesseur tout en apportant de la profondeur à son gameplay.
Death Stranding est un jeu vidéo à part. Pas parfait, mais suffisamment riche et original pour offrir une aventure dont je me souviendrais longtemps.
Je l’attendais depuis que j’eusse terminé Kingdom Hearts II, treize ans auparavant. Au final, c’est la déception qui domine.
Il y a un domaine où Marvel est à la traîne par rapport à la Distinguée Concurrence. Celui des jeux vidéo. La tendance va-t-elle commencer à s’inverser ?
Quelle claque. Je suis resté époustouflé de début jusqu’à la fin. Detroit: Become Human est le jeu le plus abouti du studio parisien.
Après une trilogie quasiment parfaite, faire revenir God of War avait tout du pari risqué. Kratos étant au sommet du panthéon grec et vidéoludique. Néanmoins, la fin ouverte du troisième épisode ne laissait que peu de places au doute.
La mode des remastered touche tout le monde. Toutefois, des studios font des efforts pour ajouter du contenu comme pour Odin Sphere: Leifthrasir.
Tropico 5 ajoute des éléments intéressants qui demandent à être peaufiner pour le prochain opus mais c’est toujours un plaisir que d’être le dictateur.