Critique : John Wick
Depuis une bande-annonce, John Wick me faisait de l’œil. Pourtant au départ, rien ne m’intéressait vraiment dans ce projet.
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Depuis une bande-annonce, John Wick me faisait de l’œil. Pourtant au départ, rien ne m’intéressait vraiment dans ce projet.
Avec David Ayer, on est sûr d’avoir un film d’hommes avec des gunfights au réalisme cru. La Seconde Guerre Mondiale était faite pour lui.
Je vais rarement voir des films français au ciné, mais comme j’adore le duo Toledano/Nakache, je ne pouvais pas laisser passer Samba.
Fincher est de retour avec Ben Affleck et Rosamund Pike pour une adaptation d’un roman où l’auteure pensait à lui quand elle l’a écrit.
Avec Equalizer, Sony démarre une franchise autour de Denzel. Mais avant de parler franchise, il faudrait déjà un premier épisode réussi.
Ce film ne me disait rien jusqu’au jour où j’ai découvert le nom du réalisateur : Tate Taylor (La Couleur des sentiments).
S’il est désormais établi qu’HBO est un pourvoyeur de séries de qualité, on connaît moins ses téléfilms comme The Normal Heart (Emmy en 2014).
22 Jump Street est moins réussi que le premier car moins frais, mais offre beaucoup d’idées et joue astucieusement sur son côté séquel.
On reproche souvent à Marvel de ne pas prendre de risques, mais avec Les Gardiens de la Galaxie, ils en prennent énormément. Est-ce payant ?
Avant Prisoners, Denis Villeneuve avait tourné Enemy, mais ce dernier ne sort en France que dix mois après Prisoners. Ça peut se comprendre.