Critique : Les Marches du Pouvoir
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
Alors qu’on pouvait s’attendre à un blockbuster enfantin, irritant les adultes par tant de mièvrerie, Real Steel arrive à l’éviter.
Ce qui aurait pu être un bon petit film de cape et d’épée se retrouve parasité par l’ancêtre d’Alice de Resident Evil.
Premier film que j’ai vu du réalisateur devenu depuis un des plus grands hommes du cinéma. Retour sur son goût pour la comédie horrifique.
Tous les qualificatifs ont été employés pour Citizen Kane, chef d’œuvre, meilleur film de tous les temps, drame absolu.
La nature prouve qu’elle nous veut du bien puisqu’en nous donnant des larmes elle nous donne le meilleur : la sensibilité.
La Couleur des sentiments est un best-seller de Kathryn Stockett. Son adaptation au cinéma a donné une comédie dramatique mémorable.
N’arrivant jamais à égaler son modèle La Route, Stake Land prône au côté de Le Livre d’Eli parmi les tentatives de western post-apo.
Un remake accumulant tout ce qu’il ne faut pas faire dans un remake mais un bon début (passé une demi-heure, vous pouvez partir).
On pouvait être dubitatif quant à l’idée de faire un long-métrage intégralement muet comme si le film était sorti dans les années 20.