Critique : The Master
The Master était attendu comme un chef d’œuvre malheureusement trop de lourdeurs et de longueurs l’empêche d’accéder à ce statut.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
The Master était attendu comme un chef d’œuvre malheureusement trop de lourdeurs et de longueurs l’empêche d’accéder à ce statut.
C’est la suite de L’Homme au masque de fer ? Blague mise à part, le 1er long de RZA est le genre de film qu’on a envie d’aimer.
La grande force de The Words réside dans son scénario alliant justesse et intelligence mais le casting est loin de tenir la cadence.
L’argument marketing de Morsures ne sera pas son titre vraiment trop ringard pour donner envie mais son acteur principal: Song Kang-Ho.
Maniac est une curiosité par son choix d’être entièrement en vue subjective et réussit pleinement sa mission malgré ses quelques défauts.
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Tom Cruise de Nazareth a ressuscité à l’occasion de la sortie de Mission : Impossible – Protocole fantôme et il continue avec Jack Reacher.
Un portrait d’une famille dévorée par le cancer de l’argent. Une bonne idée si la narration n’était pas aussi asthmatique.
Je vous préviens, la critique qui va suivre ne sera pas élogieuse, au contraire même, elle va… comment dirais-je… noyer le film.
Après un très bon Bons Baisers de Bruges, le réalisateur Martin McDonagh revient avec sept malades mentaux.