Critique : Modus Anomali : Le réveil de la proie
Film imparfait, Modus Anomali: Le réveil de la proie repose sur une bonne idée finalement trop prévisible.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Film imparfait, Modus Anomali: Le réveil de la proie repose sur une bonne idée finalement trop prévisible.
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.
Grâce à leurs bombes, le cinéma sud-coréen fait partie du panthéon cinématographique. Cette hiérarchie ne sera pas discutée avec Pieta.
Difficile de ne pas s’intéresser au personnage Toni Musulin, considéré, à tort ou à raison, comme un Robin des Bois moderne.
Ah là, là, alors qu’on se dit que le marketing français ne pourra plus nous surprendre, voilà qu’il frappe encore un gros coup.
Parler du premier G.I. Joe m’est difficile car je ne m’en souviens pas des masses mais ça ne m’empêche pas de vouloir voir cette suite.
C’est la mode de remettre à jour des vieux contes, après Blanche-Neige, Hansel et Gretel et Oz, voici Jack et son haricot magique.
Quand Piège de Cristal rencontre 24 heures chrono, ça donne La Chute de la Maison Blanche. On ne peut pas faire mieux comme description.
Derek Cianfrance était attendu après son sublime Blue Valentine, il offre une histoire d’un autre genre mais toujours avec Ryan Gosling.
Révélé par Tous les garçons aiment Mandy Lane, Jonathan Levine est désormais dans le vent et son nouveau projet a tout pour plaire.