Critique : Prometheus
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2012.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Cosmopolis promettait être le retour de Cronenberg après le moyen A Dangerous Method. De plus, il marquait la mue de la star de Twilight.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
The Vow respire le cliché. Un élément péjoratif dont on peut passer outre à condition de trouver d’autres avantages.
Fantasme des lecteurs de comics, Avengers représentaient la quintessence des super-héros Marvel, loin devant les X-Men et les 4 Fantastiques.
Lock Out, c’est typiquement le nanar sympa du 21ème siècle : des idées, de l’action emballé, des personnages marrants, des répliques chocs.
[REC]³ Genesis devait être une comédie horrifique, seulement Paco Plaza foire dans les deux genres, ne reste plus qu’une œuvre dégénérée.
Le premier épisode était réalisé par le responsable de L’incroyable Hulk. Un film moyen qui se regardait pour le plaisir.
Le pitch de Perfect Sense fait vraiment envie, imaginez un peu un monde où tous les sens partiraient un par un. Comment on réagirait ?