Critique : Senna
Senna est un des plus grands pilotes de tous les temps, il était donc normal qu’il devait bénéficier d’un documentaire digne de sa légende.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Senna est un des plus grands pilotes de tous les temps, il était donc normal qu’il devait bénéficier d’un documentaire digne de sa légende.
Deux films en un, un drame qui enterre sans problème Slumdog Millionnaire et un thriller au twist génial.
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.
Le film commence par un long voyage : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
Les premiers épisodes reviennent à une routine typiquement Fringe à savoir des enquêtes très réussis et toujours plus farfelues.
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Après un catastrophique Légion que je n’ai même pas osé voir tellement tout le monde s’est accordé pour dire que c’est une sombre bouse…
Xavier Beauvois signe un grand film sur des hommes qui ont préféré l’amour. Je comprends mieux la pluie de récompenses.
Si vous voulez commencer à rembourser l’achat de votre télé 3D, il n’y a pas photo, vous devez posséder Le Royaume de Ga’Hoole.
Califonication n’est pas pour tout le monde. Les prudes du monde entier vont crier au scandale… Le reste va s’éclater comme des petits fous.