Critique : Une soirée d’enfer
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
Si 30 minutes maximum déclare son amour au genre, contrairement à Zombieland, il n’arrive jamais vraiment à les égaliser.
En revenant sur un sujet aussi propice au débat : Coupable ou innocent ? Il devient difficile de choisir un point de vue.
Comment revenir après un échec ? Le retour derrière la caméra de Mathieu Kassovitz était attendu après son exil américain.
Tout commence par un folklore revisité. Et si le Père Noël n’était pas celui qu’on imaginait ? Découvrez le vrai dans ce film de Noël.
Le gros plaisir du film concerne le retour du légendaire comique prodigue d’Hollywood, le nommé Eddie Murphy.
Jean-Jacques is back ! Et avec lui, il nous amène un film d’aventure comme on n’en fait que trop rarement ces derniers temps.
Beaucoup voient en Les Immortels, le nouveau 300. Il faut dire qu’ils ne sont pas aidés par un gros : par les producteurs de 300.
Considéré comme un des plus grands films par Martin Scorsese et comme la principale source d’inspiration pour le Black Swan d’Aronofsky.
Luc Besson est mort ! Voilà ce que la plupart des cinéphiles proclament à tout va. Une vérité entre guillemets.