Critique : Gabriel Knight : Sins of the Fathers
Après les deux épisodes de Phantasmagoria, je voulais revenir sur un autre point & click qui m’avait marqué. La saga Gabriel Knight.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Après les deux épisodes de Phantasmagoria, je voulais revenir sur un autre point & click qui m’avait marqué. La saga Gabriel Knight.
Le film a pour but est de capter l’air d’un temps où les hésitations sont fortes, où on ne sait pas de quoi la vie est faite.
Fantasme des lecteurs de comics, Avengers représentaient la quintessence des super-héros Marvel, loin devant les X-Men et les 4 Fantastiques.
Lock Out, c’est typiquement le nanar sympa du 21ème siècle : des idées, de l’action emballé, des personnages marrants, des répliques chocs.
Si le premier jouait beaucoup sur une atmosphère angoissante, cette suite mise sur l’horreur et une atmosphère inquiétante.
Doté d’un casting dopé aux hormones, Margin Call revient sans fioriture sur ces hommes blindés de pouvoirs, de beaucoup trop de pouvoirs.
Tarsem est un homme visuel, privilégiant systématiquement la forme au fond alors on se dit que c’est une bonne idée de reprendre un conte…
Battleship ressemble furieusement à Transformers. Si on m’avait dit qu’il s’agissait d’un spin-off, je n’en aurais pas été surpris.
La première saison avait fait l’objet d’une curiosité surtout que c’était à la base un comic populaire. Qu’en est-il de sa suite ?
En cette période où les bons jeux se font rare, je me suis dit que c’était peut-être le moment de revenir aux vieux amours.