Critique : Rencontre avec le mal
Samuel L. Jackson et Luke Wilson, une affiche classe, un synopsis prometteur et un titre rappelant J’ai rencontré le diable. J’en suis.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Samuel L. Jackson et Luke Wilson, une affiche classe, un synopsis prometteur et un titre rappelant J’ai rencontré le diable. J’en suis.
Mon oncle Charlie est mort ? Viré du show après des frasques jugées inacceptables, beaucoup présageait le début de la fin pour Charlie Sheen.
Il était une fois un chevalier invisible au service d’un roi silencieux. Voilà comment on pourrait définir Touch.
Série qu’on pourrait qualifier de spin-off de The Office vu leurs points communs. D’ailleurs, elle était prévue pour l’être à l’origine.
Vendu comme un film d’action sympathique, Premium Rush est comme prévu… un film d’action sympathique. Comme Cliffhanger.
Le retour du réalisateur William Friedkin se fait avec Killer Joe. Le bonhomme ne s’est jamais démarqué hormis sur deux fulgurances.
The We and the I, littéralement Le Nous et le Je. Derrière ce joli titre se cache une excellente idée sublimée par Michel Gondry.
Le retour de War… ah non, il est dans la mouise après avoir tué tous les humains de la Terre. Du coup, on appelle le frère.
Difficile de refuser un tel voyage, pouvoir revenir dans cet univers où la tour sombre trône majestueusement au centre de tout est un luxe.
Un film Quentin Dupieux est à ce qu’il paraît un voyage atypique ne répondant pas aux structures narratives actuelles.