Critique : Doctor Who (2024) – Saison 1
Pour sa première saison depuis le partenariat entre la BBC et Disney, Doctor Who propose des aventures anthologiques loufoques.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Pour sa première saison depuis le partenariat entre la BBC et Disney, Doctor Who propose des aventures anthologiques loufoques.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
The Good Place est une véritable petite pépite dans le registre de la comédie, autour d’un sujet original traité de manière intelligente.
Un Bad Boys dans la lignée du précédent. Quoi d’étonnant vu que toute l’équipe revient, que ce soit devant ou derrière la caméra.
L’extension Zone X pour Alan Wake 2 est un régal avec trois épisodes à la manière de La Quatrième dimension et totalement différents.
Cette deuxième partie de la trilogie Final Fantasy VII Remake corrige certains défauts de son prédécesseur, mais en ajoute.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.