Critique : Insidious: Chapitre 2
Film le plus rentable de 2011, Insidious reprend là où il s’est arrêté et lève le voile sur les mystères non résolus dans une suite légitime.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Film le plus rentable de 2011, Insidious reprend là où il s’est arrêté et lève le voile sur les mystères non résolus dans une suite légitime.
En dépit de son excellente idée de départ, Machete se révélait finalement très vite limité. Quel est donc l’intérêt d’entamer une suite ?
Breaking Bad vient de s’achever. L’occasion de revenir sur l’une des plus grandes séries de l’histoire de la télévision. La plus grande ?
Chucky a toujours exercé une fascination chez moi. À cause de lui, je crains toutes les poupées que je rencontre. Fascination encore vivace ?
Une adaptation libre du roman de Stephen King revue à la sauce Lost sans atteindre la maestria de ce dernier. Plaisant à suivre tout de même.
Une première saison prometteuse même si un peu lente. Le cliffhanger final laisse envisager de bonnes choses pour la suite.
Débarquant après son concurrent direct, White House Down concourt à un sacré risque. D’un, accusation de plagiat. De deux, « déjà-vu ».
Fleurant bon Le Parrain, New World n’échappe pas à la vague sud-coréenne des longs-métrages violents et poignants. Encore un bon film ?
Dans Conjuring, James Wan décide de s’attaquer au mythe d’Harrisville avec l’aide du célèbre duo : Ed et Lorraine Warren.
Comme Max Da Costa, je rêvais d’aller faire un tour sur Elysium afin de découvrir les merveilles du nouveau long-métrage de Neill Blomkamp.