Critique épicée : Pacific Rim
Pacific Rim est bien le spectacle total attendu et peut facilement prétendre au titre de blockbuster de l’été voire de l’année.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Pacific Rim est bien le spectacle total attendu et peut facilement prétendre au titre de blockbuster de l’été voire de l’année.
Quand del Toro avait parlé de faire de Pacific Rim un hommage au kaijū eiga, j’avais ricané. Comment allait-il pouvoir s’en sortir?
Un divertissement inoffensif, sympathique et assez bien mené mais souffrant d’un traitement parfois maladroit et toujours aseptisé.
Difficile de ne pas baver malgré un titre rasoir et une affiche donnant envie de fuir en courant car le pitch de Le Congrès est fou.
Depuis Walking Dead, les zombies sont redevenus à la mode et cela a donné naissance de World War Z, premier blockbuster du genre.
Fan du 1er Star Trek, un des rares blockbusters récents que j’ai revu plus de 4 fois, c’est avec impatience que j’attendais les ténèbres.
Pas besoin d’un Sixième Sens pour savoir que le film est une daube, les Signes sont partout même dans Le Village le plus paumé.
Home invasion tout à fait classique n’offrant rien d’original ou d’enthousiasmant mais mérite tout de même un petit visionnage.
Traumatisme et déception sont les deux mots dans mon esprit à l’heure où j’écris ces lignes. Difficile de dire que j’ai kiffé Iron Man 3.
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.