La folle critique : Jurassic World : Renaissance
Aucune tension ni même une sensation de danger comme si on était dans une attraction sur rails à la Star Tour qu’on connaît par cœur.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Aucune tension ni même une sensation de danger comme si on était dans une attraction sur rails à la Star Tour qu’on connaît par cœur.
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.
Reprenant le style d’Arcane, Predator : Killer of Killers est un véritable déluge d’action fun qui n’oublie pas d’enrichir le lore Yautja.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.