Critique : Doom : The Dark Ages
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.
Reprenant le style d’Arcane, Predator : Killer of Killers est un véritable déluge d’action fun qui n’oublie pas d’enrichir le lore Yautja.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Après une saison 1 de haute volée, Andor confirme avec une saison 2 magistrale marquée par deux arcs d’un niveau exceptionnel.