Critique : Prey
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Chris Pratt : « Préparez-vous pour ce qui sera sans aucun doute le plus grand et le meilleur film de la franchise. ». J’attends encore.
Avec El Arbi & Fallah de retour derrière la caméra, je m’attendais à plus de punch. Malgré tout, l’épisode final fait le job.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.
Inquiétude. C’est ce qui prédomine chez moi après avoir bouclé cette saison 3. Pas concernant les personnages, mais sur la qualité.
Épisode étonnant s’attardant sur une partie inattendue dans sa première moitié. La suite prépare le déluge de l’épisode final.
Avec Thor : Love and Thunder, Taika Waititi réapplique la formule de Ragnarok. Première victime, l’effet de surprise.
Comme le Chevalier de la Lune, Kamala Khan nous invite à prendre l’avion. Cette fois-ci, on atterrit au Pakistan.
Buzz l’Éclair tente de prendre des risques. Malheureusement, je ne vais pas dire que le résultat soit pleinement viable.
Obi-Wan Kenobi a deux grands épisodes. Le premier et le dernier. Au milieu, des épisodes sympathiques sans plus.
Miss Marvel continue son (excellent) bonhomme de chemin avec un épisode offrant du teasing assez génial et un rythme impeccable.