Critique : Moonrise Kingdom
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
C’est l’heure des adieux. Après nous régalé durant sept saisons, voici la dernière saison de ces femmes aux foyers.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
The Vow respire le cliché. Un élément péjoratif dont on peut passer outre à condition de trouver d’autres avantages.
Le film a pour but est de capter l’air d’un temps où les hésitations sont fortes, où on ne sait pas de quoi la vie est faite.
Le rêve d’une histoire d’amour universelle marquée par la démesure n’ayant d’égale que le monstre technique que représentait l’insubmersible.
Après le grand retour de Scream, voici celui d’un autre monument des années 90, American Pie. Toute la bande est de retour !
Bellflower, un beau titre, une belle affiche, une bande annonce prometteuse faisait de ce film une de mes plus grosses attentes.
Le pitch de Perfect Sense fait vraiment envie, imaginez un peu un monde où tous les sens partiraient un par un. Comment on réagirait ?
Parfois pour trouver des bons films, il vaut mieux se tourner vers le passé et c’est le cas pour Ouragan sur le Caine.